En fait, le vrai problème des travaux c'est le sentiment de laisser-aller qu'ils créent. Les immeubles restent ouverts toute la journée pour permettre aux corps de métier de se déplacer librement. Mais bon du coup, tout le monde en profite pour aller et venir dans les blocs.
D'un autre côté avec les travaux, les blocs deviennent d'une saleté repoussante avec une sorte de poussière de plâtre qu'on retrouve partout ce qui encourage facilement un relâchement de certains.
Au total, au pire des travaux l'immeuble désigné comme pilote des réhabilitations des 272, à savoir le 6 lully ressemblait à ça.
Pisses de chiens ou autres...
Squat plus ou moins bien installés.
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Traces organiques au sol.
Parfois même du sang.
Traces diverses sur les murs à peine repeints...
Mais le pire c'est sans doute les poubelles...
Article de L'union sur le même sujet.
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