Toujours sur un hasard. Une porte ouverte.
Les entrailles de nos immeubles.
Les vide-ordures, vétustes que l'ORU devrait faire disparaître mais qui sont toujours là en attendant,
et qui débordent parfois à en remonter dans la colonne.
Les canalisations.
On comprend mieux les histoires de fuite, de surconsommation d'eau et j'en passe.
Les accès interdits.
Un trou manifestement à coup de masse,
qui donne sur un couloir technique
qui devait en son temps arriver au parking mais qui doit maintenant aboutir dans les gravats.
1 commentaire:
Well written article.
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