Dont l'un visait à savoir de quoi on se plaignait ? que les tours étaient moches et que tout le monde était content qu'elles soient démolies.
Oui, elles étaient (sont même vu qu'il en restera debout quand même) moches.
Oui tout le monde est bien content que la ville ne soit plus défigurée par ces tours qui la couronnait de façon disgracieuse (c'est clair pour les touristes, ça le faisait pas).
Mais surtout oui ils est absolument scandaleux que des gens - si misérables soient-ils - soient logés dans des conditions comme celles là.
Nous avions déjà montré l'intérieur d'immeubles encore habités.
Voir :
- Sous les jupes de l'OREUR
- squat
- entêté...
- Aventure
- oiseau à la grise robe
Sur une porte ouverte, nous avons eu accès à d'autres blocs. Ceux là espérent être inclus dans notre ORU même si la signature n'a pas encore eu lieu et sont en phase de désafection/relogement ce qui signifie que les immeubles sont quasiment vides et laissés à l'abandon alors que des familles encore non relogées y habitent encore.
Cela signifie aussi que malgré leur état d'abandon total, ils ne sont pas encore murés et sont donc accessibles à tous.
Ces photos ont été prises dans des immeubles habités.
Vue extérieur.
Sous-sol et local poubelle.
Squat.
Poignée bricolée sur porte forcée.
Expressions artistiques.
Insalubrité et danger.
Rampe cassée.
Panneau de commande de l'ascenseur.
Eclairage de couloir.
Panneau électrique.
Pigeons.
Un pigeon qui couve dans un évier.
D'autres pigeons couvent dans les placards.
Les traces de fiente sur les portes.
Encore des nids.
C'était tellement délirant qu'on a pas résisté à l'idée de faire un film.
2 commentaires:
mais de quel droit, êtes vous rentré dans des logements qui je pense ne sont aps votre propriété?
Chacun fait ce qu'il veut, même ce bons vieux pigeons
Une habitation à loyer modéré est un logement géré par un organisme d'habitations à loyer modéré, public ou privé, qui bénéficie d'un financement public partiel. A ce titre, ces habitations appartiennent donc à la notion de bien public comme il appartient à la liberté d'information de savoir comment ces biens publics sont gérés.
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