Ils étaient à peine 5 malheureux arbres à avoir survécu aux démolitions, comprendre à n'avoir pas été arrachés.
On s'était attaché à eux, pas seulement parce que c'est les seuls arbres qu'on voit de la fenêtre, mais justement, aussi pour ce côté survivants de l'ORU qu'ils avaient, un peu comme nous, les résidents-otages.
Mais, bon, hier, ils ont été éliminés, qu'importe l'équivalent CO2 qu'ils pouvaient bien aspirer, le terrain doit être vide, il le sera.
Un dernier petit coup de tronçconneuse.
Et voilà, le résultat, un beau terrain bien dégagé.
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