Il y a déjà eu l'histoire du toit de la salle polyvalente.
En effet, la "sur-couche" de toit en taule prévue sur le bâtiment n'était pas supportée par le toit originel qui menaçait de s'effondrer. Il a donc fallu le déconstruire avant de finir de mettre en place le nouveau toit en taule.
Evidement, ça n'était pas prévu dans le projet initial d'où rallonge de temps et de budget...
Et là, on s'étonne quand même que l'architecte qui a vendu le projet, ait pu vendre un projet manifestement pas réalisable... Je veux dire qu'entre toutes les différentes études mise en place, sans compter les honoraires de l'architecte, on est en droit de s'attendre à un projet réaliste voire même à une sorte de "garantie" si l'architecte s'est trop planté (comme dans notre histoire de toit où le conseil municipal a quand même voté une rallonge de 1 millions d'euro...).
Et maintenant, y'a l'histoire des fondations des premières démolitions de Banlieue 89. Notre terrain vague ORU n'en finit pas, à un moment, on nous avait même parlé de l'engazonner en septembre et toujours rien. Et voilà que la rumeur vient nourrir l'explication du retard. Les gars sont tombés sur les fondations des premiers bâtiments déconstruits avec Banlieue 89 (et dont les fondations avaient été laissées en place - et pour cause vu que ça avait été écrêté (démolition : étage par étage)). Et là, encore on s'étonne que personne n'ait fourni d'archives sur l'histoire du quartier aux gars comme ça, ils auraient vite deviné/su qu'il restait encore les fondations des premières démolitions.
Et on repense aux prix de ses travaux, aux délais annoncés (on nous parle maintenant de 2012/2014) et on s'interroge légitimement sur la compétence des personnes responsables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire